Le vendredi 13 septembre dernier, c’était soir de fête au Cabaret Lion d’Or pour la réunion annuelle d’Edgar, qui en est à sa 13e année d’existence.
Doublement 13? N’ayez crainte : nos Edgarien·ne·s se sont gardé·e·s du mauvais sort.
Occasion de faire le bilan de l’année, de procéder à des annonces en grande pompe et de se rappeler quelques moments cocasses, la réunion annuelle est la soirée par excellence pour célébrer ce qu’Edgar a de meilleur : des gens en or.
Si tout le monde mérite fleurs et confetti, certain·e·s ont vu le caractère exceptionnel de leur travail souligné par un prix.
Recrue de l’année
Incredibly smart, just the right amount of silly, and amazingly talented to boot, Joshua Bleser brille avec l’English Division d’Edgar depuis janvier dernier.
Traductrice de l’année
La plume aiguisée d’Émilie Fougères s’attaque aux mandats techniques les plus imposants avec rigueur et méthode.
Réviseure de l’année
Le travail d’Alexandra Brousseau tient de l’art comme de la neurochirurgie : précision, finesse. De toute beauté.
Responsable client de l’année
Félicité Angers est tellement fantastique qu’il aurait été égoïste de la garder pour nous. Le client à qui on l’a prêtée n’a pu qu’être enchanté.
Chef d’équipe de l’année
Manu Volaco mène ses troupes avec enthousiasme, sonne le clairon et brandit l’épée à leurs côtés.
Employée de l’année
Marie-Michèle Rivest flabbergaste tout le monde par ses traits de génie comme par sa vaillance.
Pilier de l’année
Triathlonienne épatante, Julie Locas met dans son travail la même passion, la même pugnacité que dans son entraînement.
Contrôles qualité
C’est connu, chez Edgar, on met tout en place pour assurer la qualité des textes. Les meilleures moyennes annuelles aux contrôles qualité ont été obtenues cette année par Éric Touchette (en français) et Kyle Ritchie (en anglais).
Prix Tim McGrath,
remis à qui fait sourire ses collègues au quotidien
D’allure stoïque, Éric Touchette* a l’humour d’un fin gourmet. C’est un mets raffiné qu’il sert aux personnes de qualité.
Le 13 a donc souri à nos Edgarien·ne·s, et ce n’est pas qu’un coup de chance.
Félicitations!
* Eh oui, Éric a bien reçu deux prix!